A la maison d’arrêt du Puy en Velay, un despote décide de passer outre les consignes ministérielles.
Le chef d’établissement prône maintien et confirme, par note de service, le mode dégradé pour le service des agents, sans même consulter les représentants du personnels.
Pourtant les heures sont en négatifs pour la plupart des agents dans notre établissement. Contrairement à ce que dit cette note de service, il n’y a que deux surveillants en arrêt maladie pour le service de détention.
Seulement voilà, le mode dégradé maquille le manque de personnel au détriment de la sécurité des agents.
Par des suppressions de poste de nuit, l’image de marque de la direction reste intact aux yeux de la D.I. : « Super le Puy en Velay, pas d’heure supplémentaire, on va pouvoir installer les E.L.S.P. Sans apport de personnel. »
Voilà comment, par un tour de passe-passe l’Administration Pénitentiaire économise des agents.